La Nation fait le buzz

L'éditorial de la précédente Nation, intitulé «Le discours que Mme Widmer-Schlumpf n'a pas prononcé», a été publié comme d'habitude sur notre site internet, ensuite de quoi le lien vers cette publication a été signalé sur nos réseaux sociaux Facebook et Twitter. L'info a été «retweetée» plusieurs fois. Sur Facebook, l'annonce a été vue par cinq cent trente-quatre personnes, dont quarante-huit ont cliqué dessus et vingt-cinq l'ont répercutée. L'information s'est ainsi propagée de manière «virale», c'est-à-dire en touchant de nouvelles personnes par «amis» interposés. Au même moment, l'audience générale de notre page bondissait à près de deux mille «personnes atteintes», c'est-à-dire ayant vu dans le fil de leurs actualités du contenu lié à notre propre page. Sachez encore que, si l'on additionne tous les «amis» des huitante-sept personnes qui «aiment» notre page Facebook, on atteint le nombre respectable de cinquante mille quatre cent cinquante-cinq.

Ces notions barbares, pas toujours simples à comprendre même pour les habitués, indiquent simplement que, quoi qu'on pense des affres de la modernité, les réseaux sociaux constituent à l'heure actuelle d'intéressants moyens de faire circuler des informations. On peut les utiliser pour vanter tel vendeur de savonnettes, mais aussi pour porter loin la bonne parole de La Nation. Il ne faut pas les bouder.

Que tous nos lecteurs qui sont présents sur ces réseaux n'hésitent pas à suivre nos actualités et à les répercuter!

(La Nation du 28 juin 2012)